[Restauration] - MOTOROLA EXORSET 165
Posté : 17 janv. 2008, 21:08
Plus connu pour leurs processeurs et leurs téléphones, Motorola, n’a pas la réputation d’un grand constructeur d’ordinateur. Leurs diverses incursions en la matière réservent souvent des surprises.
Nous n’avons pas été déçu par cet ExorSet. Il s’agit d’une version «made in» Motorola du Tavernier. Grand luxe, ici l’écran est intégré, à part ça c’est techniquement la même chose.
Si déjà d’extérieur, la machine en impose par ses 24 kg, ses plastiques épais et sa tôle à l’épreuve des balles, l’intérieur garde le même esprit. Comme par exemple, le ventilateur de 12 cm est entièrement en alu, corps et pale.
Le plus surprennant étant les systèmes d’agencement des éléments comme les lecteurs de disquettes posées sur un énorme bloc creux du bottom casing.
Il est à noter que les pièces injectées sont impressionnantes. Le bottom casing étant la plus massif, 10 mm d’épaisseur en moyenne, allant jusqu’à 12 mm par endroit.
En y regardant de plus près, la matière plastique utilisée ressemble étrangement à du polyamide comme ceux utilisé dans le frittage de poudre. Certains endroits comportent même des traces d’usinage. Impossible de savoir s’il s’agit d’une rectification en usine ou s’ils font parti du process de fabrication. La finition grossière et l’agencement donnent l’impression d’une machine proto qui aurait été produite en série.
Point amusant, d’après son numéro de série, cette machine serait la centième produite.
Il nous aura fallu plus de 3 heures de travail pour remettre en état l’électronique et faire disparaître les traces naissantes de rouille. Le temps restant pour tester cette machine à base de 6809 fut donc limité. A l’allumage, confronté à un beep plus que strident et ne trouvant pas la documentation sur le fonctionnement des jumpers servant à configurer l’ExorSet, les essais arrêteront vite.
Nous n’avons pas été déçu par cet ExorSet. Il s’agit d’une version «made in» Motorola du Tavernier. Grand luxe, ici l’écran est intégré, à part ça c’est techniquement la même chose.
Si déjà d’extérieur, la machine en impose par ses 24 kg, ses plastiques épais et sa tôle à l’épreuve des balles, l’intérieur garde le même esprit. Comme par exemple, le ventilateur de 12 cm est entièrement en alu, corps et pale.
Le plus surprennant étant les systèmes d’agencement des éléments comme les lecteurs de disquettes posées sur un énorme bloc creux du bottom casing.
Il est à noter que les pièces injectées sont impressionnantes. Le bottom casing étant la plus massif, 10 mm d’épaisseur en moyenne, allant jusqu’à 12 mm par endroit.
En y regardant de plus près, la matière plastique utilisée ressemble étrangement à du polyamide comme ceux utilisé dans le frittage de poudre. Certains endroits comportent même des traces d’usinage. Impossible de savoir s’il s’agit d’une rectification en usine ou s’ils font parti du process de fabrication. La finition grossière et l’agencement donnent l’impression d’une machine proto qui aurait été produite en série.
Point amusant, d’après son numéro de série, cette machine serait la centième produite.
Il nous aura fallu plus de 3 heures de travail pour remettre en état l’électronique et faire disparaître les traces naissantes de rouille. Le temps restant pour tester cette machine à base de 6809 fut donc limité. A l’allumage, confronté à un beep plus que strident et ne trouvant pas la documentation sur le fonctionnement des jumpers servant à configurer l’ExorSet, les essais arrêteront vite.